Exposition estivale dans l'Espace Culturel Cofea à Fresnay-sur-Sarthe !
Jean-Luc Labrette et Georges Quéméner : deux photographes, deux techniques, deux univers.
Peintre autodidacte depuis son adolescence, Jean-Luc Labrette s’est lancé en parallèle dans la photographie dès 1984, toujours en autodidacte. C’est pourtant la photographie qui a pris le pas sur la peinture dans sa pratique depuis plus d’une dizaine d’années bien que la peinture n’ait pas totalement abdiqué. C’est la photographie plasticienne qui passionne Jean-Luc Labrette. Jouer avec les matières des sujets photographiés en les interprétant, en les libérant de leur contexte par un travail numérique voué à susciter le questionnement. Il ressort parfois les pinceaux et les couteaux afin d’y ajouter des interventions manuelles : rehauts de peinture, gravure ou ponçage étant des exemples de sa pratique.
Georges Leduc-Quemener est quant à lui autodidacte de par son incapacité à finir un parcours scolaire quel qu’il soit. Sa pratique de la photographie pourrait sembler très proche de la photographie dite plasticienne par les effets "plastiques" qu’il obtient en détériorant ses négatifs photographiques. Toutefois, sa démarche n’est pas d’abstraire le réel pour approcher l’art, c’est de rendre visible dans ses images le faux, de dévoiler toute la pratique et le mensonge qui se cache derrière chaque
image. Il reste photographe et la destruction de ses négatifs n’est qu’une tentative de reprendre un peu de pouvoir sur les images si parfaitement mensongères que l’on nous impose en permanence dans la publicité.
Ouvert tous les jours du samedi 5 juillet au dimanche 31 août de 14h30 à 18h.
Entrée libre et gratuite.
Peintre autodidacte depuis son adolescence, Jean-Luc Labrette s’est lancé en parallèle dans la photographie dès 1984, toujours en autodidacte. C’est pourtant la photographie qui a pris le pas sur la peinture dans sa pratique depuis plus d’une dizaine d’années bien que la peinture n’ait pas totalement abdiqué. C’est la photographie plasticienne qui passionne Jean-Luc Labrette. Jouer avec les matières des sujets photographiés en les interprétant, en les libérant de leur contexte par un travail numérique voué à susciter le questionnement. Il ressort parfois les pinceaux et les couteaux afin d’y ajouter des interventions manuelles : rehauts de peinture, gravure ou ponçage étant des exemples de sa pratique.
Georges Leduc-Quemener est quant à lui autodidacte de par son incapacité à finir un parcours scolaire quel qu’il soit. Sa pratique de la photographie pourrait sembler très proche de la photographie dite plasticienne par les effets "plastiques" qu’il obtient en détériorant ses négatifs photographiques. Toutefois, sa démarche n’est pas d’abstraire le réel pour approcher l’art, c’est de rendre visible dans ses images le faux, de dévoiler toute la pratique et le mensonge qui se cache derrière chaque
image. Il reste photographe et la destruction de ses négatifs n’est qu’une tentative de reprendre un peu de pouvoir sur les images si parfaitement mensongères que l’on nous impose en permanence dans la publicité.
Ouvert tous les jours du samedi 5 juillet au dimanche 31 août de 14h30 à 18h.
Entrée libre et gratuite.
Tarifs
Tarifs
Tarif gratuit
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Horaires
Horaires
Du 5 juillet 2025 au 31 août 2025 -
Tous les jours de 14h30 à 18h
